Un nouveau scandale lié à la s3xt@pe de plusieurs élèves secoue le Cameroun. Des vidéos montrant des collégiens dans des situations compromettantes circulent sur les réseaux sociaux.
Les images, filmées dans un cadre qui semble être un établissement scolaire, se sont propagées rapidement sur plusieurs plateformes de messagerie et forums en ligne.
L’origine de la fuite reste floue. Selon certaines sources, les vidéos auraient d’abord été partagées dans des groupes privés avant d’être diffusées à plus grande échelle.
Plusieurs internautes affirment que ces contenus auraient été enregistrés par les élèves eux-mêmes, avant d’être rendus publics par une tierce personne. D’autres évoquent la possibilité d’un vol de données à partir d’un téléphone portable.
Les réactions n’ont pas tardé. Sur les réseaux sociaux, des internautes ont dénoncé la publication de ces vidéos et appellent à des sanctions contre ceux qui les ont partagées.
D’autres se sont iinterrogés sur les circonstances exactes de l’affaire et sur la responsabilité des personnes impliquées. Plusieurs parents des autres élèves auraient saisi l’administration pour demander des explications et exiger des mesures disciplinaires.
Jusqu’à présent, la direction de l’établissement n’a fait aucune déclaration officielle. Des rumeurs circulent sur d’éventuelles sanctions à l’encontre des élèves concernés, mais rien n’a été confirmé. Certaines sources parlent d’une enquête interne en cours pour identifier les responsables de la fuite.
Du côté des autorités, aucune communication officielle n’a été faite. La police n’a pas confirmé l’ouverture d’une enquête, bien que la diffusion de ce type de contenu constitue une infraction passible de sanctions. En effet, la loi camerounaise punit sévèrement la publication et la diffusion de vidéos à caractère privé, en particulier lorsqu’elles concernent des mineurs.
L’affaire prend une ampleur nationale. Ce n’est pas la première fois qu’un scandale lié à la s3xt@pe de plusieurs élèves éclate au Cameroun.
Ces derniers mois, plusieurs cas similaires ont été signalés, mettant en lumière la facilité avec laquelle des contenus privés peuvent être exposés en ligne.
À ce stade, aucune arrestation ni identification formelle des auteurs de la fuite n’a été annoncée. L’administration du collège et les autorités restent silencieuses, tandis que l’affaire continue d’alimenter les discussions sur les réseaux sociaux.