On en sait un peu plus sur les raisons qui sous-tendent le retard dans l’ouverture des marchés modernes construits au Bénin. Au détour d’une séance d’échange avec la presse, le porte-parole du gouvernement a évoqué ces raisons.
Selon Léandre Houngbédji, dans son ambition de mettre à la disposition des populations de Cotonou et environs des infrastructures marchandes normes internationales, un détail a échappé au gouvernement.
Il s’agit du mobilier qui va être déployé. Pour corriger le tir, des commandes ont été effectuées et d’ici là, les premiers mobiliers seront là pour être installés.
Outre ce détail important qui justifie le retard dans l’ouverture de ces marchés modernes, le porte parole du gouvernement a laissé entendre que l’agence mis en place pour s’occuper de la gestion de ces marchés travaille également au modèle économique au modèle d’entretien avec la société partenaire qui avait été identifiée.
« Nous faisons en sorte qu’eux tous aboutissent et qu’au fur et à mesure, tous les marchés qui seront prêts soient ouverts avant la réalisation de la seconde phase », a fait savoir le secrétaire général adjoint du gouvernement.
Toutefois, il a rassuré de ce que le gouvernement travaille déjà à trouver des solutions à ces détails.
Il convient de souligner qu’à la faveur du conseil des ministres en sa session du 1er février 2023, l’Agence nationale de gestion des marchés (ANaGEM) avait été désignée par le gouvernement pour s’occuper de la gestion du marché.